Vente aux enchères

Il s’avère que l’expérience du 1er égarement (voir: gang-bang) avait été, pour moi, dans mes fantasmes, une splendide réussite. Les films de la série « Angélique », ou l’héroïne avait été jetée en pâture à des prisonniers dans la soute d’un galion, avait été une véritable source de fantasmes. Ensuite, parmi les autres films de la série, le moment de la vente aux enchères avait été également un bon déclencheur. Un de mes amants complices, un magnifique black, superbement monté, se révélait pouvoir tenir le rôle odieux du pirate qui me mettrait aux enchères. Il connaissait un club privé qui organisait justement des réunions privées ou des femmes étaient « vendues » ou plutôt « proposées en location » pour obéir avec le plus offrant qui pouvait lui demander de réaliser un ou plusieurs de ses fantasmes préférés. Une fois effectué et terminé, j’ai avoué cet « égarement » à Frantz sous le titre de « vendue aux enchères ». Je n’avais pas du tout prévu que Frantz fantasmerait sur ce titre au point pour me proposer de réaliser effectivement ce fantasme en réel. Par contre cette expérience que nous avons réalisée un Week-end n’avait pas été autant réussie que celle réalisée avec « Badoum » qui avait durée 6 jours et 5 nuits. J’avais dit à mon mari que je partais quelques jours pour un faire un break sexuel et j’avais retrouvé Badoum, chez lui. Pour l’occasion, j’avais acheté une robe en voile verte pastel, semi transparente, qui laissait largement deviner une totale nudité. Elle était faite pour tomber aux pieds lorsque le « vendeur » dénouerait le nœud derrière la nuque en vue de faire monter les enchères. Une « vente privée spéciale » devait avoir lieu le mercredi de la semaine dans ce fameux club avec des « friqués » plutôt du genre vicieux. Badoum et moi avions répétés pour un jeu de rôle comme quoi il me présenterait comme une femme très amoureuse, totalement obéissante et soumise. Nous y sommes arrivés vers minuit. Déjà, plusieurs couples étaient présent et deux femmes se préparaient pour la vente. La première, Karine, se présenterait totalement nue, très maquillée, petite poitrine mais très jolies fesses avec une chaine string ceinture dorée qui passait entre ses fesses et une feuille de laurier comme cache sexe et visiblement elle n’était d’accord que pour faire plaisir à son mec (et même Mac plutôt) dont elle était très amoureuse. La seconde, Chantal, était une belle trentenaire, brune, cheveux courts, les yeux maquillés en amande serait présentée en maillot bikini. Et la troisième serait moi. J’avais mes longs cheveux châtains clairs non attachés et qui camouflaient mes seins en partie. Effectivement, toutes les trois nous avions une réelle apparence de « salopes en forte chaleur ». Toutes les trois avions les tétons en forte érection et les yeux brillants de milles feux. Nous étions très excitées et impatientes, pour deux d’entre nous, d’être proposées à la vente. Question de fierté, il va de soit que nous désirions être vendues aux meilleurs prix sans même connaître ni notre futur maître ni ses fantasmes. Surtout que les enchères donnaient lieux à des propositions de nombre de jours et aux propositions des fantasmes exigés. Karine, la première de nous trois est montée sur l’estrade pour être soumise aux propositions.
Karine a été « louée » par un homme de la cinquantaine pour 500 euros. Il l’a baisée et sodomisée sauvagement devant le public qui applaudissait en l’entendant crier demander de la sodomiser plus doucement et qu’elle avait très mal. Il faut reconnaître que le gars était monté comme un âne mais c’était assez courant dans ce genre de soirées. Badoum disait avoir même vu des femmes littéralement déchirée par des « loueurs » très indélicats mais que si c’était courant ce n’était toutefois pas habituel. Mais que cela plaisait à certains habitués qui venaient et aimaient voir leur compagne se faire prendre « en douleur ». En principe ces « loueurs sauvages » étaient spécialement connus et réservés par certains clients spéciaux. Puis ça été le tout de Chantal. Elle a été très disputée par trois prétendants qui ont fait monter les enchères jusqu’à 750 euros pour être prise en quatuor. C’est à dire que le client est venu avec trois amis et ils l’ont prise en triple pénétration (vaginale, anale et buccale) en tournante. Je pense qu’elle en était très demandeuse car elle avait l’air de connaître au moins deux de ses messieurs et elle a prit plusieurs fortes jouissances ou elle enthousiasmait le public qui la félicitait sous un tonnerre d’applaudissement.
Et enfin ça été mon tour. Si j’ai été étonnée d’un accueil avec des « wouhahou  » et des remarques flatteuses sur ma plastique, Badoum m’a fait comprendre que le public était déjà très réchauffé par les deux premiers spectacles, mais qu’aussi j’étais vraiment super bandante. Il était certain de mon futur succès. J’étais très excitée moi-même après les deux premières ventes. Ces deux premiers « spectacles » m’avaient chauffées à blanc, surtout la mini-partouze des quatre gars avec Chantal. J’allais donc, moi aussi, maintenant servir de spectacle à ces 30 ou 40 personnes qui étaient présentes à cette fête sexuelle. Les premières enchères sont vites montées à 600 euros. Alors Badoum a dénoué le nœud derrière ma nuque et la robe est tombée mais elle s’est d’abord accrochée à ma poitrine et comme dans le film d’Angélique, j’avais pudiquement mis mes bras pour cacher mes seins. Devant la réaction mécontente de quelques spectateurs, Badoum m’a fait sortir les bras dévoilant mes 105 C à la vue de tous. J’étais au comble de l’excitation et mes seins avaient gonflés et mes tétons pointaient d’au moins deux bons centimètres. En cinq minutes les enchères ont montées jusqu’à 800 euros par deux messieurs. Ils me louaient pour deux heures, chez eux, après une petite ½ h sur la scène ou je devrais me laisser caressée par ceux, dans le public qui paieraient 10 euros pour 5 mn de caresses chacun et 20 euros si branlette de ma part. Je devrais restée allongée sur le matelas, les jambes écartées et je devrais masturber ceux qui auraient payé. C’est donc ainsi que pendant plus de ½ heure je me suis faite caresser les seins, la chatte et que j’ai masturbé une dizaine de mecs qui, très excités, jouissaient après quelques va et vient rapides. J’ai même fais deux pipes à mes deux loueurs puis nous sommes repartis chez eux avec Badoum. Mais c’est une autre histoire.
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