Une petite annonce

Karen a envoyé une annonce :

Un complice que nous avions rencontré sur notre parking d’exhibition nous avait demandé une photo de Karen : « en tenue d’Eve» avait il précisé en plaisantant. Il avait donné assez de plaisir à ma femme pour qu’elle cède à sa demande avec plaisir.

Et c’est lorsque nous avons prit cette photo que nous avons fantasmé et développé un plan pour une rencontre par annonce. « Couple candauliste, quarantaine, expérimenté, cherche couple jeune pour chaude rencontre : photos demandées et retournée avec réponse».

Nous avons reçu très vite plus de 50 réponses, plus « chaudes » les unes que les autres. Les photos étaient très explicites pour certaines. Aprés un premier tri rapide et un second un peu plus sévère, 40 retours avec refus et plus une dizaine en hésitation ; nous avons prit rendez-vous avec les cinq premiers. C’est au troisième couple que notre choix c’est fixé. La jeune femme,36 ans, blonde, poitrine généreuse et visage d’ange avec un compagnon, 40 ans, latino, fier de sa compagne et certain de lui, avaient beaucoup plu à Karen. Certe, Angélo était très bel homme quoique quelque peu « macho », mais Karen avait flashé surtout sur Renée avec qui elle allait, pour la première fois, faire son essai homosexuel. Visiblement l’attirance avait été très réciproque, chacune ayant flasché sur la poitrine de l’autre. Les « mâles » apparemment enthousiastes ne pouvaient qu’être positifs à une réelle expérience. De l’apéritif de reconnaissance, nous avons poursuivis par un repas de connaissance. Et nos convergences étant réellement puissantes nous avons prit rendez-vous chez nous pour le samedi suivant. Au moment de nous séparer, une attitude très érotique a confirmé notre envie de nous revoir très rapidement : Karen et Renée se sont roulés, sans hésiter un premier et vraie baiser d’amoureuses. Et, plus tard, dans la voiture, j’ai pu constater que Karen avait vraiment très appréciée ce premier baiser. Les tétons dressés et la chatte dégoulinante ne cachait même pas une envie très impudique de revoir Renée dans son lit. Dès notre arrivée à la maison, comme nous l’avions prévus, je téléphonais à Angélo pour une confirmation « incognito ». Il avait constaté, lui aussi, entre les cuisses de sa compagne la même hâte à entrer en contact avec la peau de mon épouse.

L’attente a été excessivement longue mais surtout excessivement imaginée et fantasmée. Karen n’arrêtait pas de modifier ses choix vestimentaires et ses espoirs sexuels : saurait-elle ? Pourrait-elle ? Oserait-elle ? Aimerait-elle ? Se ferait-elle aimer ? Etc…Pour Karen, cette expérience avait été surtout prévue pour envisager éventuellement une possible homosexualité entre femme, ce qui ne me laissait pas du tout indifférant, contrairement à l’homosexualité masculine que j’avais totalement et définitivement exclue. Et enfin, samedi soir est arrivé. Tout était fin prèt. Karen avait tout prévu. Fleurs, Préservatifs, lubifiants, godeceinture tout neuf , redresse-seins, parfums corporels et d’ambiance, Champagne…et j’en oublie. Elle bondissait à chaque bruits de moteurs et s’est précipiteée pour les acceuillir à la 1ère sonnerie. Et très vite un deuxième baiser très amoureux et annonciateur pour une nuit très très chaude entre elles. Certe, Angélo a eu droit à une belle « caresse-braguette » lorsque Karen a laché Renée pour amener son futur amant à son fauteuil. Il ne s’est autorisé à s’assoir qu’aprés qu’il ait pu, lui aussi, à son tour arracher un baiser bien baveux des lèvres encore humides du baiser des deux amoureuses. Renée, avait récompensé les regards de Karen avec un « décolleté-nombril » ou les tétons avaient beaucoup de mal à rester discrets derrière les dentelles rouges de son polo. Une large ceinture dorée amaincissait un taille de guèpe et faisait gonler un magnifique fessier planté sur deux splendides échasses sortant d’une mini-jupe toute aussi « raz la touffe » que celle de Karen. Une fois assise, Angélo et moi étions informés du « non port » de culotte par une vue directes entre leurs cuisses assez légèrement écartées pour que les regards impatients des deux amoureux puissent se satisfaire. Le bavardage à l’apéritif, révélait à quel point les deux femmes voulaient changer rapidement pour un autre langage, plus affectueux. Alors, j’ai eu la merveilleuse idée de mettre de la musique. Sans attendre l’arrivée d’un appel à la danse, Renée et Karen se sont prises dans les bras et singeant quelques vagues pas de danse elle ont commencé une exploration sur leur peau pour laisser l’électricité faire étinceler leurs premières caresses. Nous avons eu l’assurance que leurs « nichons » avaient été, réciproquement, leur principal attrait. Sans aucune hésitation, Karen otait le polo de Renée et libérait une magnifique poitrine qui, bien accrochée à son buste, s’est mise à vibrer comme un flan « trop flan » et trop sucré, qui laissait jaillir deux tétons trop excités pour rester pudiques. Deux petits coups de langues ont eu raison d’une fausse timidité à les laisser se dresser fièrement voulant rivaliser avec ceux de Karen qui cherchaient à percer le satin de son chemisier que Renée triturait comme aurait pu le faire un jeune adolecent à sa première femelle. Renée avait laissé les traces de sa succions par des auréoles collants ainsi des tétons des merveilleux « nichons » de ma chérie. Angélo, m’a regardé, les yeux étincelants, la mine réjouie et le sourire béat. Comme moi, s’il était émerveillé par les deux corps de nos deux femmes qui faisant connaissance, il était surtout en questionnement pour savoir si nous pourrions interrompre leur éfusions calines sans risques de rejets. C’est à ce moments qu’elles se sont tournées vers nous, seins en appats, pour nous tendre les bras. Angélo et moi, sans hésitations, nous nous sommes présentés directement à nos compagnes échangées. Prenant Renée par la taille, je me serrais contre elle, ecrasant sa poitrine contre la mienne et caressant à mon tour les tendres globes des seins encore tout chauds des caresses de Karen. Angélo faisait la même chose avec ma femme et je les ai vu s’embrasser très amoureusement, tous les deux très excités par le premier épisode. Alors, ça y était nous entamions notre premier échangisme. Je ne resentais pas la même impression que pour les expériences en pur candaulisme. Je me trouvais avec une femme dans les bras, certe avec une érection agréable, mais ce serait la première fois que j’allais baiser une autre femme que la mienne pendant que Karen se ferait, elle même, baisée par un autre mâle, (et ça, par contre, ce n’était pas la première fois). Et en plus, cette fois ci , j’avais envie ; j’avais « la trique ». Les autres fois, si ma femme était rétissente à ma voir baiser une autre femme, moi même je n’avais aucune envie à cela. Mon seul fantasme était de voir mon épouse, caressée, caresser, masturber, sucer un autre gars et la voir se faire prendre, jouir, se donner, s’offrir, écarter ses cuisses pour un autre. J’aimais regarder, voir, admirer le corps magnifique de ma femme onduler sous les caresses d’un autre homme, jouir dans ses bras, me regardant comme pour me remercier du plaisir offert.

Voilà, elle s’était assise sur la petite table du salon et, les seins ballotants, elle le suçait avidement . Angélo, serrait la tête de mon épouse contre sa queue l’obligeant à rester au fond de sa gorge. Karen le gardait contre elle, l’enserrant et le serrant par les fesses. Le régal des yeux m’avait égaré de Renée qui imitait Karen. Mais si je ressentais du plaisir, s’était de voir la fellation de ma femme avec Angélo. Je connaissais trop bien le plaisir que pouvait ressentir son amant et même si ma queue se trouvait au chaud dans la bouche de Renée, c’était de m’imaginer le plaisir dont il pouvait se régaler. Je pouvais voir les joues de mon épouse se gonfler et se dégonfler au rythme très lent des va et vient qu’elle lui imposait, en aspirant au mieux a chaque recul et le faisant replonger à chaque retour. Elle le gardait un instant au fond de sa gorge, et reculait très lentement aspirant à chaque centimètre. Je voyais Angélo gémir à tous les bienfaits de cette « pipe royale » que je l’appelle. Il m’a regardé, l’air tout surpris d’un aussi grand plaisir sans même observer sa femme qui essayait de bien faire. Mais visiblement, Renée cherchait simplement à me faire jouir alors que la seule préoccupation de Karen était (de toujours) de donner le plus de plaisir possible. Et c’est aussi pour cela que Angélo, comme beaucoup de messieurs dans son cas, ne put se controler et prévint Karen de sa prochaine jouissance. Alors Karen, a serré les doigts autour de sa queue pour arrêter l’éjaculation et ainsi lui préserver toutes ses forces pour la suite. Elle la fait ressortir et a nettoyé conciencieusement la queue encore secoué de sursauts nerveux. Angélo la regardait faire en la remerciant de ce plaisir inoubliable. Quelques va et vients rapides de Renée ont achevés sa fellation alors que Karen reprenait possession de ses seins secoués au rythme de sa respiration halletante. Renée m’avait bloqué pour m’empêcher de sortir de sa bouche. J’ai donc lâché tout mon plaisir au fond de sa gorge et elle a tout avalé. Karen au contraire a continué par une masturbation légère, deserrant lentement ses doigts de la bite dirigeant le Karcher sur ses seins. Il a inondé les deux seins d’une belle couche de plaisir que Karen à bien étalé tout autour des deux globes gonflés d’excitation. Voyant cela, Renée ne put s’empêcher un wouhaou de surprise et regardant Karen et lui a simplement dit : 

« –il faudra que tu m’enseignes comment tu as pu lui en faire sortir autant. Il n’en sort pas autant avec moi. 

–Effectivement, c’est assez exceptionnel. Mon Dieu, quel plaisir. C’est incroyable. »

–Soit sans craintes ma chérie, je suis entrainée, crois moi. J’ai commencée très tôt. Lorsque j’étais jeune mon éducation catho m’interdisait de me faire dépuceler alors je suçais. Tous mes flirts y ont eu droit. A force j’ai appris. J’avais 13 ans à ma première pipe. J’en ai 40, alors …je t’apprendrais sur ton mari, tu t’entrainera sur le mien.

  • Moi, je suis d’accord ! » a renchérit Angélo en riant.

Ainsi c’est terminé le premier épisode de la soirée , qui c’est prolongée en une longue nuit. Faut il que je vous raconte la suite ou préférez vous la deviner?

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