Camping interdit

Au bord du lac du Bourget,

Pour les vacances d’été 2002, nous avions décidé que j’irais faire une cure à Aix les bains, en Savoie. Nous avions réservés un emplacement dans un camping au bord du lac du Bourget. Afin de respecter les dates de location, nous étions arrivés trois jours en avance pour nous donner le temps de nous installer et de me présenter au centre de cure. Une semaine avant la fin de ma cure, une caravane est venue s’installer à côté de nous. Il s’agissait d’un couple de curiste avec le fiston. Le dit fiston, 19 ans, les accompagnait de mauvaise grâce pour avoir osé refuser un boulot dans la boite ou son père aurait pu lui trouver un emploi. Je les ais aidés à monter leur auvent et le soir venu, nous avons prit l’apéritif tous les cinq dans notre caravane. Karen ne changeant en rien ses habitudes, était en tenue « décontractée sexy ». Et tout de suite le comportement de Tristan, notre jeune ado, avait viré de « boudeur » à très « intéressé ». Il faut reconnaître que le décolleté du chemisier, noué au nombril, y était pour beaucoup. Si Bernadette laissait apparaître une bonne pointe de jalousie et de méfiance, Alain, lui, ne se privait pas de lorgner obstinément dans le décolleté, cherchant à attendre le moment ou le début d’un mamelon s’élargirait enfin pour laisser un téton un peu trop fier d’apparaitre dans un mouvement un peu trop ample de Karen qui de son côté ne faisait aucun effort de pudeur, au contraire.

A leur départ, Karen m’a confié qu’elle avait effectivement remarqué les oeillades d’Alain, mais surtout ceux de Tristan. Elle avait remarqué que si le gonflement de son short laissait présager un intérêt certain à son encontre, celui-ci la gênait pas outre mesure et même pouvait, à la rigueur l’intéresser.

Le lendemain, nous déjeunions tranquillement, et je me suis aperçu que Tristan surveillait mon départ pour ma cure. Départ qui correspondait au départ de Karen pour une petite crique ou elle passait la matinée à se baigner, se reposer et bronzer. J’ai, bien sûr, prévenu ma tendre épouse que son admirateur amoureux l’accompagnerait certainement.

« -j’espère bien, c’est non seulement flatteur mais 3 semaines sans « coquinerie » ça commence à me chatouiller.

  • Pourquoi, tu veux te le faire ?

  • Et pourquoi pas. Il est mignon, il est jeune et visiblement il pourrait bien me convenir. Il nous reste 6 jours de vacances, que risque t’on ?

  • Moi, je ne suis pas contre, c’est toi qui voit. A tout à l’heure. Je serais là vers 11 h 30 comme d’habitude. En arrivant, comme d’habitude, tu me fais signe pour un résumé. »

Depuis le début, nous nous étions mis d’accord pour que Karen me fasse comprendre gestuellement un résumé sur ses « frasques » à son arrivée avec un de ses amants. Pour moi, c’était un moment assez excitant, comme si tout le monde pouvait comprendre ce qu’elle voulait m’annoncer.

-Elle se caressait un sein, il l’avait caressée.

-Elle essuyait les mains sur ses hanches, elle l’avait masturbé.

-Elle se léchait les lèvres, elle l’avait sucé.

-Elle se frottait le ventre (discrètement), il l’avait baisée.

-Elle se frottait les fesses, devinez.

-Elle souriait, elle avait pris du plaisir.

Et deux ou trois autres assez explicites.

Le récit viendrait plus tard, et même cette attente devenait excitante.

Pressé de savoir, j’arrivais vers 11 heures et je préparais le repas. J’ai pu les voir arriver et déjà, elle avait le sourire. En me voyant, elle s’est d’abord caressée un sein et s’est essuyée sur ses hanches. La matinée avait donc bien démarrée pour eux. Arrivé à notre caravane, Tristan m’a salué et à prit congé non sans avoir fait la bise à Karen. C’est en buvant l’apéritif que Karen m’a raconté :

Nous sommes arrivés dans mon coin. Tristan a posé sa serviette à côté de la mienne et s’est assis. Il était en short et polo. Je pouvais déjà voir que je lui faisais beaucoup d’effet. Alors j’ai sorti ma robe de plage et croyant que c’était fini, Tristan s’est allongé pour cacher une érection difficilement dissimulable. Toujours debout, j’ai sorti mon soutien gorge et je lui ai demandé s’il voulait m’accompagner pour prendre un premier bain. Lui tournant le dos je suis allée me mettre à l’eau. J’arrivai à peine à l’eau qu’il est arrivé en courant et s’arrosant est rentré dans l’eau lui aussi. Mais il n’avait de l’eau seulement jusqu’aux genoux. Il s’est retrouvé face à moi tout décontenancé de se retrouver ainsi avec une érection totale, le sexe à moitié sorti du maillot sans pouvoir se cacher dans l’eau. Il est devenu tout rouge, c’est excusé. Je lui ai dit en riant que ce n’était pas grave et même plutôt flatteur pour une femme de 45 ans de voir un beau jeune homme de son âge réagir ainsi. Alors il m’a arrosé pour se donner une contenance et j’ai fait de même pour rentrer dans son jeu. L’eau était bonne, et nous somme trempés un moment et nous sommes revenus à nos serviettes. Mais là, sous prétexte de changer de culotte, je me suis dénudée devant lui et surtout face à lui. Ses regards ne savaient quoi regarder entre mes seins et mon minou. Il me regardait tout surpris. Il n’a même pas essayé de cacher une érection plus que correcte. Sans lui laisser le temps de réagir, je l’ai félicité pour son calibre. Et même qu’un tel calibre était assez rare et agréable à voir. Je me suis allongée sur ma serviette. Encouragé par ma flatterie, il s’est enhardi et m’a félicité pour ma poitrine et mes gambettes. Je n’ai pas voulu que ce moment d’exhib s’arrête là. Alors, prenant ma crème solaire j’ai commencé à m’en passer sur mes cuisses en disant que le soleil du matin était propice aux coups de soleil. C’est lui qui m’a proposé de m’aider. J’ai accepté et me suis allongée à plat-ventre. Je savais qu’ainsi je l’exciterai au maxi avant de me présenter de face. Comme il caressait mes cuisses, je les ai écarté lui laissant pleine vue sur mon minou. Il n’a pas résisté à me dire qu’il avait là un panorama éblouissant. Je pense que c’est mon remerciement qui l’a grisé et il s’est aventuré sur les intérieurs de mes cuisses tout en frôlant de plus en plus près les lèvres certainement humidifiées par l’excitation montante. Etant généreusement « protégée » des reins et des épaules, je me suis retournée et je lui ai présenté ma poitrine aux tétons dressés. Mais positionnée ainsi je me retrouvais avec sa queue en porte drapeau à 15 cms de ma bouche. Là, c’est moi qui me suis retrouvée gênée alors, en plaisantant, j’ai posé ma main à plat sur son sexe en lui récitant le « cachez ce sexe que je ne saurais voir ». Et là, il a répliqué que c’était impossible pour lui, et que le travail que je lui avais imposé était trop plaisant pour le calmer. Le petit frétillement de sa queue que je sentais sur la paume de ma main a alors réveillé une envie trop naturelle. Alors j’ai entouré ce sexe de mes doigts et j’ai entamé une douce caresse qui, je le savais, devait obligatoirement finir par une masturbation . Je savais que dans cette position et avec une telle pratique, j’allais obligatoirement recevoir le résultat sur le visage. Mais j’ai fortement résisté pour ne pas le prendre en bouche et je le laissais m’offrir le plaisir de remplacer la crème bronzante sur mon visage. Lorsqu’il a bafouillé un « attention » je l’ai rassuré d’un « laisse faire ». Son plaisir m’a inondé le visage que j’ai répandu sur mes seins et mes lèvres. Il s’est penché et m’a donné un long baiser amoureux auquel j’ai répondu d’une langue fouilleuse et très excitée. Nous sommes restés un bon moment ainsi, assimilant le plaisir que nous venions de nous offrir. Puis, sagement nous sommes allés nous rafraîchir dans l’eau. Il m’essuyé tendrement le visage et la poitrine et nous sommes revenus nous allonger, la main dans la main comme deux amoureux. Nous avons flirté une bonne heure puis vers 11 h 50 nous sommes revenus au camping. Et me voilà à te décrire ma matinée avec Tristan.

    • Quand est ce que tu baiseras avec lui ?

    • Je ne sais pas, demain, je pense lui faire une bonne pipe ou deux et lui demander de m’en faire autant. Entre le flirt, les moments de baignade, la crème bronzante, les caresses, les pipes et les cunnis, il sera certainement 11 h passé et il nous faudra rentrer. On verra le lendemain pour la suite.

Mais en fin d’après midi nous avons eu la visite d’Alain. Il venait pour nous demander un petit service. Il s’avère qu’Alain a sa sœur ainée qui habite Fribourg en Allemagne. Ils avaient prévus d’aller lui rendre visite avant d’entamer leurs cures. Mais hier soir, Tristan a changer d’avis et refuse d’aller la voir, préférant rester au camping pour se baigner. Il voulait donc savoir si nous pourrions aider Tristan pendant deux jours dont une nuit pendant leur absence, car ils partaient dans l’après midi. C’est Karen qui a répondu et donné son accord, que ça nous dérangeait pas et même que nous le ferions manger avec plaisir et de ne surtout pas se faire du soucis. Ces deux jours s’annonçaient assez érotiques.