En reprenant les « notes » de Karen, je suis tombé sur ce récit . Il décrit l’expérience qui l’avait le plus perturbé tout en lui ayant laissé un des meilleurs souvenirs. Je vous le livre sans en changer un mot.
Si cette expérience n’est peut être pas mon meilleur souvenir, elle m’a toutefois permit de remettre mon couple, avec mon mari Frantz, dans le cadre amoureux d’ou nous avions déraillés. Effectivement j’étais passé dans une phase de questionnement qui m’avait terriblement et totalement perturbée. Pratiquions nous le candaulisme par vice ou dans le seul but de nous prouver notre amour sincère et réciproque ?. En plus nous venions de fêter mes 45 ans, un de mes complices black préféré, Amédé, venait d’être réaffecté dans une autre région, nous venions de renoncer à un fantasme qui me tenait particulièrement à cœur : la prostitution, pourtant très jouissive, mais nettement trop dangereuse. Et voilà que, j’ai poussé sans réfléchir mais par forte excitation, Frantz dans les bras d’Evelyne, la trop belle compagne d’Amédé pour notre dernière soirée avant son déménagement. Du fait, j’avais pus voir mon mari faire jouir cette femelle, alors que jamais je ne lui avais permis à avoir une liaison sexuelle avec une autre femme. Je sais que Frantz, du 1er jour de notre liaison, n’a jamais eu de « maîtresse » car j’ai toujours été férocement jalouse. J’étais entrée dans une forte dépression et je ne me sentais plus désirable, comme une adolescence je me trouvais plein de défauts, les seins qui n’étaient plus aussi fermes, mes fesses qui ramollissaient et des pâtes d’oies aux coins des yeux. Je refusais toutes tentatives de Frantz pour « passer une bonne soirée ». Mon seul plaisir, pourtant féminin, était de constater que je ne laissais pas le fils de mon ex mari, âgé de 19 ans, indifférant et qu’il s’intéressait non seulement à ma poitrine tombante, à mes fesses ramollies mais aussi à mes culottes odorantes qu’il me « chipait » dans mon linge sale. Non seulement il s’arrangeait pour venir réviser ses leçons chez moi après ses cours, mais il amenait trop souvent des copains pour me zieuter lorsque je prenais mes bains de soleil. A la longue, je me suis surprise à être flattée de leur intérêt sexuel à mon égard. C’est ainsi que je ne me refusais plus de bronzer seins nus voire même totalement nue feignant la surprise à leur arrivée. Il m’arrivait de plus en plus de me masturber après leur départ. J’ai fini par en parler à Frantz qui n’a pas laissé passer l’occasion pour me pousser à entrer avec Christian, enfin, dans un jeu coquin.
Ca a commencé un Jeudi ou Christian devait avoir les résultats d’un examen pour ses études. Il est arrivé vers15 heures, tout fiérot pour m’annoncer sa réussite en compagnie de ses 2 copains. Nous avons fêtés cette réussite au Champagne. Au bout d’un moment, les 2 copains sont partis et Christian a fini le champagne, plus très frais alors que je me prélassais sur mon matelas pneumatique, seins nus et mini culotte. Même si je n’avais, encore, aucunes arrières pensées, j’avoue que les 2 flutes de champagne, avec la chaleur, m’avaient rendue très « réceptive », j’avais bien compris que le signe de Christian faisant signe à ses copains de partir, avais déclenché le réflexe d’une réflexion intérieure que je connaissais très bien : « voilà, c’est parti» mais sans que cela ne me mette en garde, au contraire. Je me suis mise en état de totale acceptation. Même s’il n’avait que 19 ans, il ne faisait pas partit de ma famille, il n’y aurait donc pas d’inceste. J’avais tout de suite compris et enregistré jusqu’ou ce tête à tête alcoolisé pourrait nous amener. Je n’ai même pas été surprise de mon réflexe de femme, je me sentais non seulement excitée mais désireuse de me sentir désirée, caressée, léchée et baisée. Oui, j’allais l’accepter comme amant. Il n’était qu’un jeune homme de 19 ans, amoureux de l’ex femme de son père, je n’étais que l’ex femme de son père et j’avais envie de lui. Mais je refusais de me donner à lui trop facilement. Alors je gardais les yeux clos et la tête tournée de l’autre côté. Je l’ai entendu mettre l’autre matelas à côté du mien et s’allonger à mes côtés. Je pouvais le deviner indécis pour oser me caresser les seins exposés, regarder ma petite culotte, mes jambes, mes lèvres que je gardais entrouvertes. Jusqu’au moment ou une main à effleuré la peau sous mon sein et remonter jusqu’à chatouiller le téton pour, enfin couvrir le sein et commencer une caresse plus appuyée et plus franche. Après avoir découvert le soyeux des deux seins, il est redescendue lentement vers mon ventre. Là, je ne pouvais plus jouer à l’endormie. Je tournais la tête vers lui et j’allais lui faire une remarque mi consentante mi outrée lorsqu’il a prit les devants et m’a embrassé. J’ai très vite senti qu’il forçait mes lèvres avec sa langue. Trop désireuse de lui appartenir, je n’ai même pas été surprise de répondre amoureusement à son baiser. Le baiser était agréable et il était visiblement entrainé à ce genre de baiser baveux. Sa main avait continué sa course pour glisser sous ma culotte et fouiller mes poils pour arriver à mon minou qui ne cachait plus mon excitation. Sans aucune pudeur j’écartais les cuisses et le laissait titiller mon clito trop longtemps abandonné. Je n’ai pu contenir un long soupir qui l’a encouragé à accélérer le titillement pour le transformer en branlette. Maintenant je ne pouvais plus chercher la moindre excuse de résistance. Ma main est partie, elle aussi, à la recherche de sa queue qu’elle a trouvé en totale érection. Je n’ai même pas essayé d’éviter le contact direct. Quelques gouttes de son plaisir lubrifiaient déjà ce futur piston. C’est lentement que Christian a commencé à poser ses lèvres sur mes tétons puis mon ventre, sous le nombril. Je savais que s’il arrivait à ma culotte, il l’a sortirait et je le laisserait faire. En fait je n’attendais que ça, je voulais ça depuis longtemps déjà. Mais ma dépression me l’avait interdit. Je m’entendais gémir de plus en plus fort et me refusais d’être plus discrète. Je voulais qu’il soit sûr de mon plaisir, même si j’en rajoutais. J’ai senti ses mains s’accrocher à ma culotte. Ca y était il allait la sortir, je ne lui ai pas fait obstruction, j’ai même soulevé mes fesses avant même qu’il ne m’y force. Je m’offrais, je me donnais, je m’abandonnais: je redevenais Karen. Je me ressentais belle, désirable, BAISABLE. Et c’était un jeunôt de 19 ans qui était en chemin pour me rendre ma fierté. Ce n’était pas encore fait, mais cela allait m’arriver, j’allais pouvoir donner du plaisir à un homme. Lui en donner mais aussi en prendre. J’ai senti sa bouche se poser sur minette. Et doucement la langue venir caresser le bord des lèvres, entrer , fouiller, chercher, trouver et chatouiller. Oui, elle a reconnu un clito. Alors j’ai senti la forte inspiration, mon clito se laisser happer et sa langue le tortiller, l’emprisonner. J’ai enfin retrouvé ce formidable frémissement de plaisir. Je ressentais ce frémissement comme un plaisir nouveau. Une autre aspiration, un autre tortillement et un autre frémissement, plus fort, plus vrai , le vrai frémissement, celui du renouveau. Il m’a arracher un long gémissement. Au diable la pudeur, le cri de plaisir a raisonné à mes oreilles. Je redevenais une femme…non une salope, enfin! Ce cri de plaisir est devenu un appel :
« viens, viens baise moi, j’ai trop envie, viens, je suis à toi. »
Comme s’il avait compris et entendu ma supplique, la bouche c’est décollée de mon clito en révolution. Christian s’est redressé, m’a regardé avec un large sourire de satisfaction, m’a enjambé, j’ai senti sa queue balayer le haut de mes cuisses et se placer devant ma féminité frémissante. Déjà, trop pressée, j’appuyais sur ses fesses comme pour ne pas le laisser me louper, il fallait qu’il entre. Ma féminité ? il venait de la caresser, de la lécher, de la réveiller, il fallait maintenant l’envahir, brutalement, sauvagement. Il allait me redépuceler. Oui, j’étais vierge, vierge de ce plaisir tout neuf. Ma virginité, je l’avais perdue à 20 ans avec un homme de 25 ans. Aujourd’hui, à 45 ans, j’allais réoffrir ma vieille virginité retrouvée à cette jeune queue de 19 ans. Si cette jeune queue n’a pas percé ma rondelle, elle m’a arraché non pas un gémissement mais un cri de bonheur. Je le serrais fortement dans mes bras. Je l’ai senti reculer, me réenvahir, plusieurs fois, ralentir, s’arrêter, se reposer, recommencer. La fourmilière se réveillait, elle s’en donnait à cœur joie, elle venait de retrouver sa joie de vivre, la joie de baiser et de chercher le plaisir. Je savais que se fourmillement allait m’amener à l’extase. Mais je voulais la retarder, me laisser le temps de retrouver toutes ses merveilleuses sensations que j’avais voulu oublier. Et soudain, elle a éclaté. Je me suis recroquevillée contre mon amant. Si je retrouvais ces sensations de bonheur intense, maintenant je voulais essayer de ressentir ses vibrations à lui. Il respirait très fort, il gémissait très doucement et j’entendais ses gémissements gonfler. Je voulais l’entendre comme il m’avait entendu. Je n’avais pas retenu ma jouissance, je ne voulais pas qu’il retienne la sienne. L’avais fait jouir ?, lui avais tout donner ?, m’avait-il senti jouir ?, avait il senti mes frémissements? Puis j’ai entendu l’ours grogner, un souffle puissant réchauffer ma gorge, il cherchait a cacher sa jouissance, cette jouissance que je voulait lui donner pour le remercier de celle qu’il venait de m’offrir. Je l’ai senti s’alourdir d’abord, puis retomber à mes côtés, me couvrir de baisés, me caresser. Puis j’ai entendu un chapelet de mots d’amour, de déclarations comme quoi il m’aimait depuis son jeune âge, mais de quelle jeunesse parlait-il, s’excuser de son audace, de ses maladresses. Je l’ai, à mon tour couvert de baisés et je me suis littéralement jeté sur cette merveilleuse queue qui reprenait déjà de la vigueur, enveloppée de ma cyprine. Je l’ai sucée sans complexe, il me regardait le piper et donnait quelques coups de reins. J’ai senti son plaisir jaillir et buter fortement au fond de ma gorge. Un grognement très rauque m’a fait comprendre que cette fois-ci, oui, je venais de lui donner le second plaisir. Moi, Karen, mature en jachère, à 49 ans je pouvais encore plaire et faire jouir un gosse de 19 ans sans problèmes.
C’était en juin, il est resté mon amant 2 fois par semaine pendant 7 mois avec la même intensité, jusqu’au jour ou il a déclaré fidélité à sa future femme, Claudine. Cette liaison est resté un merveilleux secret même si Claudine, s’est apparemment douté de quelque chose et a souvent posé de nombreuses questions à Christian à mon sujet.