Sa première dans la nature,
Karen, pour sa 1ère « exhib-plus« , elle avait accepté de faire une pipe à un routier dans les WC invalide d’une aire de repos d’autoroute. Cette expérience avait d’autant plus été une réussite qu’elle nous avait fait démarrer une très longue période de 15 années de candaulisme. Mais auparavant, je l’avais entrainée dans une expérience imprévue d’exhibition qui, à la fin, avait été particulièrement appréciée et lui avait fait apprécier l’exhibitionnisme.
J’allais pêcher au bord d’une petite rivière, juste à la limite d’un petit bois lui même sur le côté d’une ferme. Alors que je pêchais, le fermier était venu voir et nous avions discuté. C’était un cultivateur âgé de 68 ans, et c’était le cultivateur type vraiment à l’ancienne. Au fil de la discussion, il s’est avéré que non seulement il connaissait mon épouse Karen, devant l’école, en allant chercher son petit fils à l’école, et qu’il la trouvait particulièrement belle, mais surtout qu’il appréciait ses « mamelles » comme il disait. Il faut dire qu’elle avait une très belle poitrine (tout de même mieux que des mamelles): 105 C et en était assez fière et mettait des décolletés assez échancrés. Il m’avouait, sans aucune gène, avec l’aplomb d’un homme de la terre, avoir souvent profité de ses décolletés qu’il zieutait avec grand plaisir. Et lorsque je lui glissais qu’elle faisait, des heureux en bord de mer en s’exhibant sans problèmes, les seins nus sur la plage et même en nu intégral, il regrettait de n’avoir jamais eu le bonheur de la voir ainsi. C’est là que je l’ai prévenu qu’un soir, je l’amènerais au bord de la rivière pour y passer un moment coquin et que s’il était discret, il se pourrait qu’il puisse la voir entièrement nue. Tout émoustillé, il m’a demandé de le prévenir de ce moment coquin. Et c’est ainsi qu’un soir d’été, après une après midi de pèche, je proposais à Karen de prendre une coupe de Champagne sur mon coin de pêche. A 9 h 30 nous sommes arrivés sur le bord de l’eau. Nous nous sommes installés sur une couverture et nous avons débouchonné une bouteille de Champagne. Au bout d’un moment, la bouteille terminée, Karen ne s’est pas défilée lorsque je l’ai « entreprise ». J’avais repéré mon gaillard, camouflé derrière un gros buisson. Alors j’ai commencé à « strip teaser » ma femme. Elle s’est vite retrouvée seins nus et petite culotte de dentelles blanches. Après quelques caresses, Karen m’a prévenue de la présence d’un homme qui visiblement se masturbait derrière le buisson.
« -Et même je crois que je le connais. C’est le gars qui ne lâchait pas mes nénés des yeux lorsque j’attendais Cla… à la sortie de l’école. On devrait partir car on est sur ses terres»
Comme je lui rétorquais que, comme nous il ne faisait rien de mal et donc, il n’avait qu’à continuer sa branlette et que c’était normal qu’il se branle en la voyant à poils. Et même qu’on pourrait lui en donner davantage. Sur ce, je lui sortais la culotte et elle s’est laissée faire. Même si elle a trouvé cela exagéré, elle a accepté de me faire une pipe malgré ses regards inquisiteurs, que j’ai récompensé par un long, bon et profond cunni une fois la pipe terminée. C’est sur un ton haletant qu’elle m’a alors prévenu.
« ha, là, non seulement il ne se cache plus, mais je peux dire que non seulement il bande comme un taureau. En plus, c’est sûr, il a compris que je l’ai vu en train de se branler . »
Elle a prit un pieds assez bruyant pour que Marcel puisse l’entendre. Après deux ou trois caresses, Karen s’empalait sur ma queue tout tournant le dos à notre voyeur. Alors j’ai fait signe à Marcel de s’approcher. Bien sûr, Karen avait compris que Marcel venait plus près. Elle m’a regardé d’un air interrogatif. Qu’allait-il se passer maintenant ?
« -Ne crains rien, je crois qu’il a envie de soupeser tes nichons. »
Et là, c’est le sourire coquin de Karen qui m’a fait comprendre qu’elle n’était pas contre. Surtout qu’en s’empalant sur ma queue, j’avais pu constater qu’elle était naturellement et particulièrement bien lubrifiée donc très excitée par cette présence imprévue. Alors m’adressant à Marcel, je lui lançais un :
« – Voyez, je ne vous ai pas menti. Elle est belle non ? »
Et je lui ais fait signe de lui caresser les seins. Il s’est approché en marmonnant dans un vague patois comme quoi c’était une belle pouliche et a attrapé un sein qu’il a malaxé avec un plaisir non camouflé. Karen s’est redressée en gonflant la poitrine comme pour lui en donner d’avantage. Elle l’a regardé en souriant et ne pu s’empêcher sur un ton coquin, un :
« Depuis le temps que tu les lorgnais, tu te régales là, non ? »
-C’est vrai qu’ils sont appétissant. Tu ne te gênais pas de me laisser regarder dans ton chemisier devant l’école. En plus, c’est vrai qu’ils sont gros et agréable à caresser. Merci de ce cadeau. C’est toi qui avais les plus beaux de toutes les mères. L’autre jour, on parlait de toi à la belote, ils sont tous du même avis : tu as les plus belles mamelles du village et tu es aussi la plus bandante. Ton homme à bien de la chance. Regardes un peu comme tu me fais bander. »
qu’il a dit en basculant son bassin dénudé en avant.
« -tu peux la caresser si tu veux, je ne suis pas contre. Cela avait l’air de t’exciter tout à l’heure quand je me caressais. »
Et là chose étonnante, Karen m’a regardé comme pour me demander l’autorisation. Je lui ai simplement dit :
«-c’est toi qui vois, si tu en a envie, si ça te plait, tu peux le masturber.
-ben oui, si elle a envie la petite dame. Et moi, je suis bien d’accord .
-Vous êtes quand même gonflés tout les deux.
Et après un petit moment de réflexion :
-Bon d’accord, mais il ne faudra pas le raconter aux copains de la belote. Même si je suis la plus bandante, je n’ai pas envie de passer pour la plus branleuse du village.
Elle a tendu la main et entourant la queue de ses longs doigts, elle a commencé par quelques petits va et vient avant d’accélérer pour une bonne masturbation en bonne et dû forme. Ayant pris la précaution de diriger le « karcher » vers ses seins, elle a reçu assez rapidement une bonne giclée de sperme sur la poitrine :
« -Oh bon sang, c’est mieux que de le faire moi-même. Merci ma petite dame. Vous pouvez venir quand vous voulez boire la piquette. On pourra toujours faire un brin de causette si la main vous en dit. Ne vous en faîtes pas, ce ne sont pas des choses qui se racontent, personne n’en saura rien, de toute façon, qui me croirait. Et puis si vous voulez des œufs ou même des poulets, vous n’aurez qu’à demander. »
C’est ainsi que durant presque toute une année nous n’achetions plus nos œufs au magasin. Jusqu’au jour ou alors que nous y étions allés pour pêcher, elle est revenue de chez Marcel après demi heure de « discussion » : elle lui avait échangé une pipe profonde et bien arrosée contre une belle poularde vidée et plumée.
« -bon sang, m’avait elle commenté, il doit y avoir longtemps qu’il n’a pas jouit comme ça le salop, Bon sang. Et il était en forme le gars, si tu avait vu ça, il est croisé avec un âne ma parole. Il m’en a foutu partout. Heureusement qu’il y avait le torchon de la poule pour m’essuyer, il m’avait littéralement inondée la poitrine. De toute façon je n’aurais pas pu tout avaler.
-pourquoi, tu l’avais gardé en bouche ?
-Oui, il m’avait surprise, mais à la première giclée je l’ai sortie, je n’en ai pas avalé beaucoup. Bof ! Ce n’est pas la 1ère fois !
– avec lui ?
– non, avec mes petits copains quand j’étais jeune. Mais je te l’ai déjà raconté ça. Tu ne vas pas me faire le jaloux. Non lui, c’est la 1ère fois. Il m’a proposé cette belle poularde. Je venais de le branler, pour les œufs comme d’habitude, il bandait encore. Alors j’ai compris qu’il aurait bien voulu davantage. Alors, je l’ai sucé. Il est peut être vieux mais il en a encore sous le capot. Il m’a dit avoir même des agneaux et qu’il ferait des canards gras cet hiver. Je suis sûre qu’il m’en demandera davantage pour ça. Mais bon, pourquoi pas, il a l’air d’être un bon coup. Et en plus, lorsqu’il sait que je suis là avec toi, il est propre comme un sou neuf le cochon, il sent bon et il est en grande forme. Et quand je dis grande, c’est vraiment la grande forme.
Nous n’avons manqué ni d’oeufs ni de gigots, ni de foie gras ou de poulardes. Je pense même que les gigots étaient un peu plus chers. Quand il tuait un agneau, elle y passait la journée pour l’aider. Oui ce devait être plus cher, mais tout était vraiment de tellement bonne qualité.
OUI TOUT , MÊME LE PAIEMENT !