Egarements

Karen et son 1er récit d’égarement.

J’ai toujours résumé les expériences candaulistes que Frantz et moi avons partagés et qui nous laissés de très bons souvenirs pour certains. Toutefois j’ai eu quelques périodes ou je m’obligeais à vivres quelques expériences en dehors de sa complicité. C’est suite à l’aventure (avouée) avec Christian qui avait fait germer en moi l’idée de « m’amuser » sans sa complicité et j’avais même prévu de ne pas les raconter tout en lui laissant un résumé, (un titre plutôt), pour lui laisser une idée fantasme qu’il pourrait développer lui même. Il y a quelques jours, nous venons d’apprendre qu’une malformation cardiaque se développant, je ne pourrais pas profiter d’une « vieillesse » comme tout en chacune. Alors je vais raconter quelques unes de ces expériences laissées secrètes sur un troisième cahier pour que Frantz puisse les comparer à son développement personnel.
Le 1er récit, que j’avais titré -Gang-bang-, c’est passé à une trentaine de kms de chez nous. J’avais repéré un club échangiste alors que nous venions justement de l’écarter car non conforme à nos envies du moment. Il y avait beaucoup trop de « morts de faim » et même si ces « morts de faim » m’avaient laissés une mauvaise impression, j’en avais toutefois gardé un souvenir, ou plutôt une impression de désir. Je me rappelle avoir intérieurement comparé cette impression à une scène d’un film « Indomptable Angelique » ou elle avait été enfermée en fond de câle d’un galion pour y être violée sauvagement par des prisonniers. Oh, certes, je ne désirais nullement être violée sauvagement, mais l’idée d’être prise avec un consentement douteux avec une hygiène tout aussi douteuse réveillait une petite fourmilière dans mon bas ventre. Un jour, cette fourmilière s’était trop bien réveillée mais je ne voulais pas en parler avec Frantz qui privilégiait hygiène et consentement pour toutes nos expériences. Sans vouloir imiter « la marquise », je m’étais habillée de façon bourgeoise avec une touche voyante de salope car je voulais dénoter devant les « morts de faim » dans le scénario que je m’étais construit. C’est donc avec bel ensemble chic mais une jupe trop courte et un chemisier trop transparent que j’ai atterri dans mon « club infréquentable ». J’ai tout de suite retrouvé le club de « morts de faim » et malfamé de notre 1ère visite. Il était déjà tard et des groupes de mâles avinés plaisantaient et riaient sans discrétion. J’étais restée debout au comptoir et un des mâles est venu m’offrir un wisky. Je souriais de ses plaisanteries lourdingues et de plaisanteries lourdingues en wisky trop alcolisés, je finis par accepter l’invitation de m’assoir à leur table. Je voyais très bien qu’ils voulaient me faire trop boire mais heureusement une plante verte à mes côtés m’a servie de déversoir. C’est vers une heure du matin, qu’ils m’ont suggérés de venir visiter leur « dortoir de chantier » dans lequel ils mangeaient et dormaient car ils travaillaient tous les cinq à la construction d’un immeuble. Je les ai donc suivis jusqu’à leur châlet. Même si ça sentait le bouc dans leur dortoir, celui-ci était correctement rangé. Ils m’ont offert une bierre et ont proposé directement de faire une partie de strip-poker. La partie n’a durée qu’une petite demi heure pour que je me retrouve nue, entoutée de cinq mâles bites en porte drapeau. C’est ainsi que je me suis retrouvée enchainant les pipes pour « payer  » pour régler les gages aux gagnants. Je dois reconnaître que j’étais avec un groupe de Bien Montés, qui malheureusement n’étaient pas tous des fanatiques de l’hygiène. Mais dans mon délire initial c’ait justement ce que j’avais imaginé. Les quelques pipes terminées ont commencés les pénétrations, d’abord vaginales puis anales pour continuer en doubles penétrations. Je me rappelle les avoir impressionnés par mes jouissances bruyantes et douloureuses pour les DP . Ils m’ont laissée me reposer vers 8h du matin du dimanche. Ils ont remis ça à trois reprises et c’est vers 22 h qu’ils ont déclarés forfait pour 4 d’entre eux. Le cinquième, super-performant est resté entre mes fesses pendant que m’ayant mise sous la douche, ils s’amusaient à me laver à tour de rôle profitant de mon minou très acceuillant. Je dois reconnaître que lorsque je me suis assise dans ma voiture vers minuit je ressentais l’assurance de m’être faite prendre en DP à plusieurs reprises. J’ai pris une chambre dans l’hôtel de la gare pour m’y reposer jusqu’au lendemain après-midi. Le soir, sans trop réfléchir, mais toujours dans mon délire, je suis retournée voir mes cinq amants auxquels c’était rajouté un renfort, un noir d’1m 90, Camerounais. Et même s’ils étaient surpris de me voir revenir, ils n’ont pas hésités à me déshabiller et me mettre sur le matelas au milieu de la pièce avec mon nouvel amant. Pourtant habituée à certaines proportions de quelques blacks Très Bien Montés, j’avoue avoir été TRES impressionnée par l’outillage de ce jeune Camérounais fier de l’effet produit. Effectivement, il faisait partis des exceptions dont j’avais eu affaire. Avec Amédé, (mon amant black préféré) j’avais jusqu’alors atteind le stade suppérieur puisque 23 cm sur 6/7 de diamètre. Mais cette fois, pour me récompenser de mon assiduité, ils avaient invités leur ami pour que je leur serve de « film porno » dont je serais l’actrice. Le « chef d’équipe » a même installé une caméra pour filmer les scènes principales. Même si le phénomène me stressait un peu, il me plaisait de faire cette nouvelle expérience. A la première masturbation, si les 23 cms étaient légèrement dépassés, le diamètre m’avait posé assez de problème pour m’obliger de demander de ne surtout pas essayer de DP . Je me suis très vite littéralement jetée sur cette queue démesurée pour le prendre en bouche, ses compagnons lui ayant vanté mon « incomparable savoir sucer ». Il m’a fallu plusieurs « essais d’entrainement » pour arriver à laisser entrer ce phénomène dans ma petite bouche pas assez élastique pour le satisfaire totalement. C’est après m’avoir félicitée pour ma pipe, à ses dires exceptionnellement réussie, qu’il m’a rendu la pareille en m’écartant les cuisses pour me « brouter le gazon ». 2 ème étonnement, sa langue était d’une efficacité hord du commun au point de m’arracher très rapidement, mais très longuement une merveilleuse jouissance que je classerais de grandiose. J’ai tout de même eu droit à quelques suppléments buccaux crémeux, alors que mon camérounais n’avait toujours pas laché sa jouissance. Je connaissais trop bien l’abondance d’une jouissance black, et je voulais connaître sa capacité à lui. Surtout que lui, de son côté, venait de goûter à ma jouissance que je qualifierais d’abondante réelle sans être fontaine. Comme il m’a faite m’agenouiller je le suppliais de ne pas me sodomiser. Il m’a gentiment rassurée en me disant qu’il connaissait très bien les interdictions habituelles à cette pratique et qu’il me le redemanderait après avoir envahi ma jolie petite chatte de blanche. Par précautions j’avais tout de même protégé mon trou de balle avec une main comme bouclier. Et j’ai enfin pu ressentir cet immense plaisir de sentir le total remplissage de ma chatte, raclant les parois, bouculant mon clito qui essayait de récupérer tout le plaisir possible et se retirer pour ré-envahir encore plus profondément. Je pouvais sentir tout le restant dehors et ma jouissance revenir. Mais ce n’était pas la même jouissance que celle du cunni, je la sentais s’annoncer violente, une jouissance totalement hors du commun. Décidément, j’avais bien fait de revenir ce soir. J’allais connaître cette jouissance exceptionnelle que toutes les femmes peuvent espérer. Je la sentais gonfler, elle réveillait toutes les fourmilères de mon ventre et même celles que je ne savais pas présentes et tout à coup ça y était, elle était là. J’ai mis mon poing dans ma bouche, mon envie de hurler était trop fort. J’ai réussie à le retenir un long moment mais ma jouissance trop forte m’a obligée à le laisser s’éclater. J’ai surpris les cinq spectateurs du spectacle. Ils me regardaient les yeux écarquillés et un large sourire aux lèvres. Ils sont venus caresser mes seins secoués de spasmes jusqu’a ce que le « cinéaste » vienne étouffer le son avec une queue qui n’arrêtait pas de gicler des coulées de sperme que je m’obligeait a avaler. C’est alors que mon amant s’est écroulé sur moi, m’applatissant sur le sommier. Je sentais aussi le plaisir de mon amant déborder de tous les côtés et couler le long de mes cuisses. Je l’ai senti sortir de mon ventre et se « garer » entre mes fesses. Il m’a alors demandé si je voulais profiter de cet excés de lubrifiant pour accepter une sodomie qu’il modèrerait à ma volonté. Je venais de recevoir la jouissance de ma vie comment aurais-je pu lui refuser, nous refuser une sodomie. Je me rassurais tout de même à sentir sa queue débander. « Ne t’en fait pas, je ne rebanderais pas autant et je ferais très attention » Pendant ce temps il lubrifiait intérieurement le petit frippé à l’aide de tout le débordement récupéré. Effectivement j’ai pu sentir la queue reprendre un peu de raideur. Il s’est soulevé et naturellement il s’est placé contre la rondelle et a commencé à forcer le passage. De mes deux mains, j’ai écarté mes fesses au maximum et il a réussi à entamer l’entrée. Comme je commençais à gémir il a ralenti la pénétration et au bout d’un moment j’ai senti une forte douleur. Ca y était il était entré. Alors j’ai réagi comme je le faisais avec Amédé, je lui ai crié : « voilà, ça y est vas y, ça va faire mal mais tant pis,vas-y. » je lai senti appuyer et entrer, il n’arrêtait pas de rentrer, oui, ça faisait mal mais tant pis je le voulais. J’avais les larmes aux yeux et j’ai senti le plaisir remplacer une partie de la douleur qui s’en trouvait diminuée. La douleur est revenue lorsqu’il a commencé le ramonage ramenant le frippé avec son pieu. Les spectateurs étaient éberlués. Et il a replongé. Le plaisir et la douleur se mélangeaient mais je récuperais de plus en plus de plaisir. Mais sans comparaison avec celle de tout à l’heure. C’était plus un plaisir douloureux psycholigique J’étais en train de me faire enculer comme une putte et cela me plaisait. Je me voulais putte, je me voulais enculée par une bitte énorme d’un black. J’avais réussi, j’avais acceté, je l’avais voulu. Je m’étais « égarée » comme je l’avais fantasmé et je m’en félicitais.

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